Stéphane s’est lancé dans le chanvre. Il a lancé sa marque Chanvre Bio du Périgord. Il souligne l’importance du réseau dans le développement de son projet. Ayant précédemment travaillé dans la vente et le dépannage, il a été attiré par le chanvre en cherchant une reconversion professionnelle. Ainsi, malgré un démarrage sans terrain ni équipement, ni expérience agricole, son réseau l’a aidé à progresser rapidement. Et il prévoit de commercialiser de l’huile et de la farine de chanvre et prévoit d’ouvrir prochainement un magasin de producteur dans on village.
Naissance de Chanvre Bio du Périgord
Stéphane G. – Il y aura toujours des difficultés, il faut faire avec. Il ne faut pas hésiter à demander conseil à ceux qui savent. C’est vrai que Chanvre Légal Pro, je remercie beaucoup pour ça. Au niveau information, ça va très vite. Puisque finalement, tu montes dans une fusée et puis tu veux savoir ceci ou cela, tu ne perds pas de temps. Tu ne perds pas de temps, ça va beaucoup plus vite.
Thomas B. – Ça y est, c’est le nouveau logo pour Chanvre Bio du Périgord ?
Stéphane G. – C’est le nouveau logo.
Thomas B. – Yes.
Stéphane G. – Aujourd’hui, c’est l’association Chanvre Bio du Périgord. D’ailleurs, dans les projets, il y a quand même la création d’une chanvrière, d’un groupement d’agriculteurs, d’un groupement de transformateurs, de pourquoi pas un animateur local qui fasse le tour et qui mette tout le monde en lien.
Thomas B. – La beauté des lieux. Salut, on est avec Chanvre du Périgord.
Stéphane G. – Chanvre Bio du Périgord. J’insiste.
Thomas B. – Chanvre Bio du Périgord. Un petit mot important, c’est ta deuxième année ?
Stéphane G. – Chez Chanvre Légal Pro, oui. C’est ma deuxième saison, sinon, ça fait un an et demi.
Thomas B. – Tu as lancé des tests l’an dernier pour plutôt la fleur CBD ?
Stéphane G. – C’est ça.
Thomas B. – Sur 150 mètres carrés, c’est ça ?
Stéphane G. – Voilà, à peu près 300 pieds de la Finola et de la Carmagnola.
Thomas B. – Et en l’espace d’un an, tu fais quasi fois 10 en surface. Tu passes à la graine fibre. Et puis on va parler de tout ça.
Stéphane G. – Exactement.
Quel a été ton parcours avant Chanvre Bio du Périgord ?
Thomas B. – Est-ce que tu peux te présenter ? Tes grandes étapes professionnelles avant d’arriver au chanvre. Par où tu es passé ?
Stéphane G. – J’ai fait très peu de salariat. J’ai fait quoi ? Trois, quatre ans, peut- être cinq ans comme salarié. Et après, ça a été que à mon compte. En gestion de magasin, en dépannage, en SAV.
Thomas B. – Tu as fait du dépannage, tu as fait de la gestion de magasins ?
Stéphane G. – Voilà.
Thomas B. – Tu as monté des magasins de vente ?
Stéphane G. – Voilà, j’étais à mon compte. J’ai été dans l’électroménager, j’ai été dans le déstockage alimentaire.
Thomas B. – Et si on en parle, c’est parce qu’il y a un lien direct avec ce qui t’a amené vers le chanvre. En fait, ça t’a fait quoi cette expérience- là ? Pourquoi ça t’a poussé vers le chanvre ?
Stéphane G. – Déçu de cet univers- là. Puis après, je voulais changer. Je voulais une reconversion, comme on appelle ça, professionnelle. Je n’étais pas à ma place, je n’avais plus de plaisir dans le commerce. J’ai eu l’impression d’avoir vendu que de la merde toute ma vie, pas satisfait, pas bien.
Un reconversion pour plus d’éthique
Thomas B. – Donc, tu cherchais à la fois de la qualité, de la santé ?
Stéphane G. – Et de vendre un produit avec lequel mes valeurs sont en adéquation. Et plus je suis bien, mieux je vais le faire.
Thomas B. – Ok, donc un peu d’éthique dans ce bordel.
Stéphane G. – Voilà.
Thomas B. – Ok, très bien. Super. Tu as commencé comme ça. Et puis, un jour, tu arrives sur le chanvre. Comment ça se passe ?
Stéphane G. – Je suis à la recherche et je fouille sur Internet. Je cherche, je regarde plein de trucs et je me questionne. Donc c’est une remise en question. Donc je cherche, je cherche. Et c’est venu assez rapidement parce que j’ai fini au mois de janvier 2021 et je suis rentré au CLP fin février 2021.
Thomas B. – CLP, c’est Chanvre Légal Pro.
Stéphane G. – De Chanvre Légal Pro.
Thomas B. – Oui, tu es entré dans la formation.
Stéphane G. – Fin février, mi- février même, quand on s’est contacté. Et voilà, j’ai vu une vidéo de toi sur bio-entrepreneur.com, sur comment générer des revenus. Et puis ça m’a fait tilt. C’est ça. Car cette plante, elle est magnifique, on peut tout faire. Il y a tellement de débouchés, il y a tellement à développer. Et alors on sentait qu’il y avait quelque chose à faire, qu’il y a un nouveau marché qui s’ouvre. Voilà, donc j’ai senti l’extase et je suis tombé sur Chanvres Légal Pro, j’ai dit « Allez, j’y vais ».
De zéros à 300 plants, à 1,15 hectares de chanvre
Thomas B. – Ton projet, là, tu es lancé sur combien de surface ?
Stéphane G. – Un hectare quinze à peu près.
Thomas B. – Un hectare quinze. Est-ce que tu peux nous dire un mot sur le fait que tu es parti sans terrain, en fait ?
Stéphane G. – Oui.
Thomas B. – Alors, sans terrain, ni machine, ni expérience dans le champ. À part l’an dernier ton test ?
Stéphane G. – J’ai rien. L’année dernière, j’avais une maison, donc j’ai pu tester chez moi personnellement, les 300 plants et tout.
Thomas B. – Oui, dans les clous quand même ?
Stéphane G. – Voilà, dans les clous. J’ai foiré un peu le séchage, le conditionnement. J’ai pris conscience de l’importance de toutes les étapes et de ne pas en foirer une seule, de bien faire attention à chaque étape. Et cette année, je ne suis pas parti en fleurs sur un hectare parce que c’était trop de boulot. Mais je voulais tenter la graine parce que je sais que l’huile, la farine, c’est des produits assez sains.
Thomas B. – Comment tu fais pour lancer un projet sur un hectare et quelques sans avoir de terrain ?
Comment lancer un projet sans avoir de terrain ?
Sortir de chez soi, aller voir du monde avec un bon projet sous le coude
Stéphane G. – Plutôt au jour le jour, on y va. Désormais, quoi qu’il arrive, le bonheur va arriver, ça va sonner à ta porte. Je parle beaucoup, je parle beaucoup. Partout où je vais, je parle. Il y a un bon réseau, on est à la campagne, on échange, on s’en parle. Que ce soit avec des artisans, tout corps de métier.
Thomas B. – Tu te renseignes sur qui fait quoi ? Tu as parlé de ton projet ? De ta marque Chanvre Bio du Périgord ?
Stéphane G. – Exactement.
Thomas B. – Tu as trouvé des gens qui prêtaient l’oreille à ça ?
Stéphane G. – Voilà. Mais je me suis aperçu, la première chose, il y a beaucoup de transformateurs autour de moi.
Thomas B. – Oui.
Stéphane G. – Il y a beaucoup de champs aussi.
Thomas B. – Yes.
Stéphane G. – Donc, il y a quelque chose à faire.
Identifier la ou les bonnes personnes
Thomas B. – Donc, tu t’es dit, je prends des contacts, je vais trouver quelqu’un de bien qui va m’aider et un autre et puis tout ça.
Stéphane G. – Il y a forcément un agriculteur. Et puis bon, on m’a prêté le terrain, c’est un prêt, un prêt d’usage. Mais même si on doit le louer, on est à 150 € à l’année, je crois, un hectare. Donc, c’est pas bien cher.
Thomas B. – Tu as fait tes calculs ?
Stéphane G. – Ouais, je me suis dit tout le monde est capable de pouvoir louer un terrain, surtout qu’il y en a plein. Et je suis tombé au hasard avec des amis, d’amis, d’amis qui tiennent une noyeraie. Et puis l’huile de noix, je me suis dit j’aimerais bien faire de l’huile, il est à un quart d’heure de chez moi.
Thomas B. – Ah oui, une noyeraie, d’accord…
Stéphane G. – D’abord, ils font beaucoup d’huiles de noix, de produits à base de noix. La noix du Périgord AOC bio, bien entendu, les petits produits locaux. Du coup, je leur en ai parlé. Et puis allez, vas-y, j’ai un terrain.
Thomas B. – Tu as trouvé quelqu’un qui t’a dit OK pour un terrain ?
Stéphane G. – Voilà.
Un partenariat et c’est parti
Thomas B. – Vous avez passé un accord ?
Stéphane G. – On a fait un petit contrat de partenariat. Qui fait quoi ? Et puis en gros, lui, c’était en gros, si j’ai besoin d’un coup de main en main d’œuvre, je peux t’appeler. Je dis oui, bien entendu. Le troc, il est là, il n’y a pas d’argent. Si demain il a besoin de moi, que je peux donner un coup de main, il n’y a pas de souci.
Thomas B. – Yes. Alors on va revenir à ce que tu comptes commercialiser dans les quelques mois qui viennent. Et c’est plutôt très bien parti. Vous avez pu voir, vous pouvez voir la parcelle pendant qu’on parle, qui est magnifique.
Stéphane G. – Ça s’est bien goupillé, sans stress, malgré le manque d’eau, un petit peu tardivement, parce que ça s’est déclenché au mois de mai. Il a fallu que je fasse vite fait trouver les graines, trouver… Une fois que j’avais le terrain, il a fallu tout déclencher, tout ce qu’il y a à faire derrière, le travail en amont.
Thomas B. – Et là, ça se passe plutôt bien.
Stéphane G. – Ouais, pour une première, ouais.
L’avenir pour Chanvre Bio du Périgord, c’est quoi ?
Thomas B. – Je suis bien content. On va arriver à tes produits dans un instant, mais tu nous parlais au début de ton expérience de gérant de magasin, t’as lancé plusieurs magasins, plusieurs commerces comme ça. Et là, t’as une histoire de magasin qui va s’ouvrir bientôt.
Stéphane G. – Effectivement, je suis encore propriétaire de ce magasin où j’ai exploité certaines années. Et donc aujourd’hui, il est pas loué, il est vide. Économiquement, a Excideuil, voilà, on est là, c’est un peu en déclin. C’est une période comme dans tous les villages.
Thomas B. – Les commerces ferment un petit peu, les cafés ?
Stéphane G. – Voilà, il y a toujours des périodes comme ça. Moi, je crois que c’est des stades et qu’à un moment donné, ça va remonter, forcément. Donc là, ça fait quelques années qu’on descend, qu’on descend, donc il y a moyen de faire quelque chose.
Thomas B. – Là, t’as des locaux qui sont… ?
Ouvrir un magasin de producteur de chanvre
Stéphane G. – Ensuite, j’ai un beau magasin de 100 mètres carrés avec le mobilier qui va avec, les étagères et tout.
Thomas B. – Le pas de porte ?
Stéphane G. – Le pas de porte, oui, c’est à moi.
Thomas B. – En propriété.
Stéphane G. – Voilà, en propriété. Ok. Sinon, il y a une SCI et du coup, tu as vu le magasin toi- même, 100 mètres carrés, il y a de quoi même s’associer avec d’autres projets. Parce qu’il faut les remplir, les 100 mètres carrés de produits.
Thomas B. – Et alors, justement.
Stéphane G. – Il faut les remplir.
Thomas B. – Tu vas les remplir avec des produits à base de chanvre, évidemment. Les tiens, on va y revenir dans un instant. Egalement, tu vas aussi avoir d’autres produits à base de chanvre qui viennent d’ailleurs aussi ?
Stéphane G. – Oui, avec le réseau de Chanvre Légal Pro, déjà. Déjà, dans l’assurance que on est tous dans la même éthique, des bons produits et et tout.
Thomas B. – Qualité dans les clous.
Stéphane G. – Je pense que je vais travailler beaucoup avec les membres de Chanvre Légal Pro oui.
Thomas B. – Tu as déjà quelques contacts qui vont bien avec ça ?
Stéphane G. – Oui, depuis l’immersion et tout. Aussi, au fur et à mesure des interviews, des visios et tout ça, il y a des affinités qui se font quand même. On voit qu’il y a des copains qui ne sont pas loin.
Et dans 2 mois, la récolte, la transformation, les produits
Pour commencer, assurer la récolte
Thomas B. – Excellent. Tes produits, ça va être quoi cette année ?
Stéphane G. – Cette année, je vais viser en espérant..
Thomas B. – Alors, il y a la récolte, la transfo, mais tu y arrives, là, c’est dans six mois.
Stéphane G. – A ce sujet, dans deux mois, il y a la récolte. On est début août. Début octobre, on va commencer la récolte. J’ai trouvé le gars, Alexandre, l’entrepreneur agricole, qui m’a fait l’amendement, qui m’a retourné le terrain, qui m’a semé et tout. Il va aussi me faire avec la moissonneuse batteuse pour récupérer les 30 derniers sommités.
Thomas B. – Ok. Les 30 derniers centimètres, tu veux dire ?
Stéphane G. – Effectivement, oui, la sommité des 30 derniers centimètres de la fleur avec les graines. Du coup, on doit se voir dans la semaine pour voir comment on va faire la suite. Parce que lui, il a un gros réseau aussi d’agriculteurs. Il a commencé à en parler, il a vu mes petits posts Facebook et tout. Et il me dit « Ouais, ça me parle, ouais, c’est bien. » Il a vu la différence. Lui, il est pas en bio, du coup, il aimerait bien passer en bio. Il s’aperçoit qu’il y en a plein d’autres. Car il en parle à ses copains et « Ouais, c’est pas mal.»
Et ensuite, les produits
Thomas B. – Donc, tu vas faire de l’huile.
Stéphane G. – Plutôt de l’huile, de la farine alimentaire.
Thomas B. – Alimentaire. C’est sans CBD, c’est alimentaire.
Stéphane G. – Voilà. C’est plus pour les valeurs nutritives qu’elles ont, oméga 3, oméga 6, tout ça, les valeurs nutritionnelles que la graine peut t’apporter.
Thomas B. – Ok. Ça fait déjà deux produits qui vont débarquer, ce sera vraiment les tiens, ceux-là.
Stéphane G. – Voilà. En bref, de A à Z. Oui, made in Dordogne.
Thomas B. – Avec ton logo, le chanvre bio du Périgord.
Stéphane G. – Voilà.
Thomas B. – Tu as vu, j’ai pas oublié le « Bio », cette fois.
Stéphane G. – C’est vrai.
Développer l’assortiment
Thomas B. – On va en reparler aussi. Et puis, tu comptes vendre d’autres produits, d’autres chanvriers, du coup ?
Stéphane G. – Voilà.
Thomas B. – Est-ce que tu peux donner deux ou trois exemples ?
Stéphane G. – Donc et bien moi, j’aurais de la trim. J’aurais de la trim d’ici. De ma récolte à moi, j’aurais de la trim, de la graine, de la farine, de l’huile.
Thomas B. – De qualité made in France, c’est la grosse différence en circuit très court.
Stéphane G. – Voilà. Effectivement, le but, c’est de commencer par ça, c’est de produire localement, transformer localement et revendre localement.
Thomas B. – On veut du circuit court.
Stéphane G. – Voilà.
Thomas B. – Et puis, de la tisane et voilà, ce genre de choses comme ça, tu peux développer ton assortiment.
Stéphane G. – Exactement. Essayer même de se lancer. Il y a une Herboristerie que j’ai pas encore contactée, mais ça peut être des savons, ça peut être… En fait, il y a de tout. Il y a tellement de débouchés que…
Thomas B. – Il y a le choix, là-dessus en fait.
Stéphane G. – Je sais très bien qu’il y aura une gamme de produits qui va s’étoffer d’année en année.
L’importance de l’aspect réseau pour lancer Chanvre Bio du Périgord
Thomas B. – Ça marche. Ok, j’aimerais revenir sur un point qu’on a abordé un peu en filigrane par ci par là, mais c’est l’aspect réseau. Pourquoi ? Parce que tu pars de rien au départ, t’as pas de matos ni agricole, ni terrain, ni rien finalement. T’as juste l’envie, t’as un peu la rage.
Stéphane G. – La clé, c’est le réseau. Tu as totalement raison quand même. Dans mon cas à moi, la clé, c’est le réseau.
Thomas B. – Alors juste pour résumer ce que ça te permet de faire le réseau, ça t’a permis d’avoir un terrain.
Stéphane G. – Oui.
Thomas B. – Des machines pour préparer les sols, semer, etc.
Stéphane G. – Voilà, d’être en contact avec les agriculteurs.
Thomas B. – Et c’est aussi par le réseau que tu vas pouvoir compléter ta gamme produit, on en a parlé déjà.
Stéphane G. – Exactement, mais aussi transformer. Il y a plein de petites idées un peu partout, un peu d’échanges. C’est que des dialogues, c’est que des discussions en cours, mais il y en a forcément qui vont aboutir. Il y en a forcément qui vont aboutir.
Thomas B. – En fait, il y a un truc qui marche, tu le gardes, il y a un truc qui marche pas, tu le changes.
Stéphane G. – On s’adapte. On avance.
Thomas B. – Qu’est-ce que tu veux dire pour peut- être finir ? Si t’as un mot de la fin autre ?
Un mot pour conclure ?
Stéphane G. – Je souhaite remercier depuis ce début d’aventure, Chanvre Légal pro, mes amis, Fredo, Natacha, Michel et Lucette qui m’ont prêté le terrain. Ensuite, j’en oublie plein, Alexandre, l’entrepreneur agricole, j’en oublie plein parce qu’il y a plein de gens qui ont participé, même inconsciemment, sans le savoir. On discute, on échange, on échange et puis ils me donnent une info dont je ne suis pas au courant. Et paf ! Ou il me mettent en contact avec quelqu’un, « Tiens, je connais, je te présente. » Ça va très vite. Et puis, j’aimerais bien fédérer tout ça autour.
Thomas B. – Tu es confiant pour la suite ?
Stéphane G. – Oui.
Thomas B. – Cool.
Stéphane G. – Oui. Il y aura toujours des difficultés, il faut faire avec, il ne faut pas trop se creuser la tête et puis, il ne faut pas hésiter à demander conseil à ceux qui savent. C’est vrai que Chanvre Légal Pro, je remercie beaucoup tout ça pour ça. C’est qu’au niveau information, ça va très vite.
Tu montes dans une fusée et puis tu veux savoir ça, tu perds pas de temps. Tu perds pas de temps, ça va beaucoup plus vite. Donc pourquoi je suis confiant ? Parce que je sais que les réponses que j’ai pas… À l’heure actuelle, j’en ai pas besoin tout de suite, mais dans le futur, je sais que j’en aurai besoin et je sais qu’elles sont déjà là. Elles sont dans les cours, dans les guides et tout, donc je suis vraiment pas inquiet. Quand j’en aurai besoin, j’irai la chercher au moment voulu, tout simplement.
Et pour aller plus loin
Thomas B. – N’hésitez pas à partager la vidéo, à commenter, poser vos questions si vous en avez, s’il y a un truc qui vous inspire, qui vous titille, que vous voulez savoir.
Stéphane G. – Je suis prêt à répondre à toutes les questions. Pas de soucis.
Thomas B. – Et voilà génial.
Depuis cette vidéo, Stéphane a ouvert son magasin et a changé sa marque pour Lo Cannabal, Chanvre Bio du Périgord
Si cette histoire vous inspire et si vous aussi vous souhaitez faire partie de l’aventure, retrouver toutes les info sur le programme Chanvre Légal Pro ici.
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