Huile essentielle à base de chanvre corse: rencontre avec Audrey, créatrice de la marque T Divina
Après une carrière de chef de projet dans le secteur ferroviaire, Audrey a saisi l’opportunité d’un déménagement en Corse pour devenir agricultrice avec un ami associé. Elle s’est lancée dans la culture de l’Immortelle, puis du chanvre, et a créé la première huile essentielle de chanvre corse. Sa marque T Diniva propose désormais plusieurs produits à base de chanvre, commercialisés sur les marchés corse mais aussi dans deux boutiques de l’île. Elle nous raconte avec enthousiasme cette nouvelle aventure et ses projets.
Thomas B. – Où est-ce que tu vois cette aventure liée au chanvre, évidemment, dans un an ? Est-ce que tu vois un frein ou quelconque empêchement à ce que ça parte plus haut, plus fort ?
Thomas B. – Il y a plein de projets que j’ai vus, qui me tenteraient aussi encore.
Thomas B. – Salut Audrey !
Audrey L. – Salut Thomas.
Thomas B. – On est en plein cœur de la Corse.
Audrey L. – Oui, au-dessus de Saint-Florent, à Rutali. On est dans notre champ. Donc je suis associée à Jean-François et ça fait cinq ans qu’on est agriculteurs. On a planté de l’immortelle pour faire des huiles essentielles. On distille, on cultive, on cueille, on distille.
Du secteur ferroviaire à la culture de l’Immortelle et du chanvre en Corse
Audrey L. – Pourquoi tu es là ? Parce qu’on fait aussi du chanvre. On s’est lancé dans l’aventure il y a pas longtemps, il y a cinq mois. On s’est intéressé au chanvre depuis un moment. Et là, on a enfin passé le pas.
Thomas B. – Donc, on est entouré d’Immortelles. Il y a du chanvre qui pousse de l’autre côté. On va avoir des plans, images et tout. Tu viens d’où, toi, Audrey ? À la base, tu n’es pas du tout agricultrice.
Audrey L. – Non, je venais du milieu ferroviaire. J’étais chef de projet dans une usine de rénovation ferroviaire et je suis venue vivre en Corse il y a une dizaine d’années. J’avais des enfants, donc petits, en bas âge. J’ai arrêté de travailler et je me suis lancée dans une formation d’aromathérapie.
Une formation en aromathérapie inspirée par sa grand-mère corse
T. – Tu me disais sans conviction au début.
A. – Sans conviction, Oui, oui. Plutôt parce que ma grand-mère me disait que les plantes ça soignait et qu’elle s’était toujours soignée comme ça.
T. – C’était ta grand-mère corse ?
A. – Oui, tout à fait. Je l’ai écoutée. Je me suis dit: Tiens, allez, je vais faire cette formation, puis je vais tester, on va voir. Et de là, moi qui amenais, quand on était encore sur le continent, mes enfants, toutes les semaines, voire tous les 15 jours au max chez le pédiatre, quand on a commencé à se soigner avec les huiles essentielles, ils y sont plus allés pendant au moins trois ans. En fait, on y allait que pour les vaccins.
T. – Ils allaient tout le temps chez le pédiatre ? Ça s’est arrêté d’un coup parce qu’il y avait plus besoin ?
A. – On a changé d’environnement, on a vécu en pleine nature. Et puis, dès qu’il y avait un petit bobo, un petit rhume ou n’importe quoi, en fait, on le soignait avec les huiles essentielles.
T. – Avec les remèdes de grand-mère, au sens littéral.
A. – Oui, tout à fait.
T. – Donc, ceci t’amène à l’aromathérapie.
A. – Qui, voilà.
T. – Sans conviction au début, puis finalement, si, du coup.
A. – Oui, après, quand j’ai vu que ça marchait, là, je me suis dit: « Attends, je vais faire moi-même ». Parce qu’on était au milieu du maquis avec plein de plantes à infuser, à distiller. Du coup, là, je me suis achetée un petit alambic et j’ai commencé à distiller dans le garage un peu toutes les plantes du jardin ou que je trouvais en sauvage dans le maquis.
Vers la production d’huiles essentielles et d’hydrolats
T. – Quand on dit distiller, on peut penser à plusieurs choses. C’est pour des huiles essentielles ?
A. – Voilà, c’est exclusivement, que pour les huiles essentielles.
T. – Tu ne fais pas de la bibine dans le maquis ?
A. – Non, que des huiles essentielles, mais on aurait pu, il y a de la liqueur de myrte, il y a plein de… Mais non, huiles essentielles et hydrolat. Parce que les eaux florales sont beaucoup moins puissantes, mais on va pouvoir faire des cures avec et faire de très bonnes choses déjà rien qu’avec les hydrolats ou sur les enfants ou les personnes vraiment sensibles.
Démonstration d’une récupération d’huile essentielle
A. – Là, on ferme la vanne de l’hydrolat. Du coup, ça monte.
T. – Ça, c’est l’huile essentielle.
A. – Ça, c’est l’huile essentielle.
T. – qui vient juste d’être récupérée.
A. – Tout fraîche. qui vient d’être récupérée. Et là, ça va tomber dans l’ampoule à décanter.
T. – Allez. C’est parti. Là, on a de l’huile essentielle qui vient de sortir.
A. – Tout à fait.
T. – C’est magnifique. Le décor est plutôt sympa. Donc là, il n’y a plus qu’à peser, à emballer, analyser.
A. – Filtrer et à mettre en petites bouteilles.
T. – Yes.
La découverte du chanvre par le biais de Chanvre Légal Pro et les premières cultures de chanvre corse
T. – Et alors, le chanvre dans tout ça ?
A. – Le chanvre est arrivé parce qu’on voulait se diversifier. On y pensait aussi parce que j’avais suivi les tout débuts de Chanvre Légal Pro. Et puis, à chaque fois, je regardais les vidéos, je t’écoutais me présenter, je me disais: « J’ai envie », mais bon, c’était pas le moment. C’était pas le moment. Et puis, là, cette année, on a passé le pas. Mais en fait, avant de passer le pas avec Chanvre Légal pro, on a planté. On a eu de beaux plants, on a pu distiller. On a donc fait la première huile essentielle de chanvre corse.
T. – La première huile essentielle de Corse, à base de chanvre.
A. – Voilà. Et donc on s’est aperçu, en faisant les analyses, que dans l’huile essentielle, pas du tout, ni de CBD, ni de THC.
T. – Oui, il n’y a pas de cannabinoïde. On est que sur du terpène ultra concentré.
A. – Ultra concentré et entre autres, 60% de myrcène. Et en fait, là, après, on s’est dit: « Qu’est-ce qu’on va faire de tout ce qui nous reste ? » Parce qu’on avait quand même de la trim, on avait gardé d’autres… Et puis là, juste fin décembre, le 28, là, tu as fait une présentation.
T. – Oui, une petite conférence en ligne.
A. – Et c’est là qu’on a passé le pas. Je me félicite encore tous les jours de l’avoir passé.
T. – C’est vrai ?
A. – Oui, parce qu’on a pu apprendre plein de choses sur la transformation, puis cette communauté, de pour pouvoir discuter ensemble dès qu’on a un souci. Et puis même, j’ai gagné 10 ans d’essai.
T. – Ah carrément ?
A. – Oui, je pense.
Découverte de la parcelle de chanvre d’Audrey
T. – Et là, on est sur ta parcelle !
A. – Et oui ! Alors ici, c’est des petits parce que c’est des autoflowers.
T. – Ok, ça marche. Tu as combien de plants cette année ?
A. – 130. Il y en a 35 encore qui arrivent.
T. – Ok. Là, ils sont un peu en phase de croissance au début et on les voit quand même, mais ça va pousser très touffu, tout ça.
Les débuts de la commercialisation lors d’un salon de l’agriculture
T. – Du coup, aujourd’hui, tu vends comment ? Où est-ce que s’écoulent tes produits ? Tu as commencé à les vendre il y a quatre mois, à partir du mois de février. Tu as commencé un peu en fanfare avec un salon de l’agriculture. C’est ça, oui. Au stand Corse, groupé avec d’autres producteurs de Corse, c’est ça ?
A. – Oui. On y est monté comme représentant des plantes aromatiques et médicinales, donc on y est monté pour l’Immortelle, mais on a pu se différencier par rapport aux autres grâce au chanvre et faire connaître nos huiles, mais aussi les huiles de massage, des baumes.
T. – Donc ça a été un très bon salon d’après mes infos ?
A. – Oui, c’est vrai. Et puis, pas le public que j’attendais, mais finalement, très bon public qui avait envie, justement, d’en apprendre plus sur le chanvre.
T. – Et quelle impression ça t’a donné ?
A. – Avec les gens, ils étaient quand même intéressés et avaient envie de savoir: « Vous le produisez, mais pourquoi ? Et pourquoi faire ? Non, mais c’est du CBD ». Non, l’huile essentielle, il n’y a pas du tout. Donc, j’ai expliqué justement les différences. Il y a le full spectrum aussi. Donc, la macération d’huile pour sous-linguale.
T. – Ok. Et oui, effectivement, l’huile essentielle, encore une fois, il n’y a pas de cannabinoïde dedans. Il faut l’expliquer aux gens parce que c’est souvent de ça qu’ils ont peur, pour ceux qui sont un petit peu fermés. Génial ! Les ventes ont démarré au Salon de l’agriculture, ça fait quatre mois à peu près maintenant. Où est-ce que tu en es là-dessus ?
Un chiffre d’affaire encourageant dès les premiers mois
A. – Donc, au niveau du chiffre d’affaires ?
T. – Oui.
A. – Au niveau du chiffre d’affaires, on doit être dans les 5 000 €.
T. – En quatre mois ?
A. – Oui.
T. – Donc ça fait un peu plus de 1 000 € par mois en moyenne de chiffre d’affaires pour un tout début d’aventure.
A. – Pour un tout début d’aventure, oui, parce que la saison, elle n’a pas commencé. Donc là, elle va commencer d’ici peu, en juillet.
T. – On est le 1ᵉʳ juillet.
A. – On est 1ᵉʳ juillet, donc ça va commencer.
T. – L’afflux de touristes n’est pas encore complètement là et ils ne vont pas tarder.
A. – Et ça marche déjà bien. On est déjà content de…
T. – Sachant que là, c’est quand même essentiellement les marchés.
Une commercialisation au sein de deux grosses boutiques en Corse
A. – Et une boutique. C’est deux boutiques. C’est une personne qui tient deux grosses boutiques sur Calvi et Ajaccio, qui ne regroupent que des producteurs corses. Ils sont très connus et pour le coup, elle ne voulait pas nous prendre depuis quatre ans parce qu’on fait la même chose que les autres et que ça existe depuis 30 ans, l’Immortelle, en Corse. Donc, quand on est arrivé avec notre Immortelle, elle m’avait dit l’année dernière: « Faites quelque chose de nouveau parce que ça, on a déjà ».
Quand je l’ai rappelée en mars, avril pour lui dire: « Je vous ai écouté, je fais du chanvre », elle nous a fait rentrer notre gamme entière de produits, donc huit produits à base de chanvre corse, tout de suite. Là, elle nous a fait la première commande, mi-juin, mais avec un prévisionnel, avec des ventes beaucoup plus grosses sur juillet, août et septembre. Et puis après, elle est ouverte toute l’année.
T. – Ça, c’est intéressant. Ça veut dire que le chanvre est devenu une porte d’entrée dans des magasins où tu n’avais pas la clé.
Un potentiel de partenariat avec des pharmacies
A. – Oui, même des pharmacies. Ils avaient déjà aussi leur producteur. Et du coup, là, le chanvre: « Ce serait bien de venir nous présenter vos produits. On est intéressés. »
T. – Ça, c’est pas encore fait, mais ça…
A. – Non, parce qu’on n’a pas le temps. Parce qu’en fait, c’est vrai que là, on est dans le gros de la saison, entre récolte, distillation, préparation des marchés, donc beaucoup de transfo. Donc c’est vrai que ce sera plus un travail pour octobre. Quoique non, octobre, il va y avoir aussi la récolte du chanvre. Mais voilà, ce sera à un autre moment, août, on va dire.
T. – Et donc là, vous avez un peu de trim, un peu de tisane, des roll-on, de l’eau florale, de l’huile essentielle. Est-ce que j’en oublie ?
A. – L’huile de massage. Une huile de massage qui est faite à base de chanvre, d’Immortelle et d’Ylang-Ylang, ça, c’est pour le côté un peu des îles, aussi.
T. – D’accord, c’est vachement bien! Ça fait pas mal de produits en très peu de temps.
A. – Oui. Je veux juste dire qu’ils sont tous dipés grâce à une dermatologue que j’ai connue grâce à Chanvre Légal Pro.
T. – Là, d’accord. Une des expertes.
T. – Une des expertes, oui.
T. – Le DIP, « diper », juste pour traduire pour les gens.
A. – Oui, Dossier Information Produits, donc obligatoire quand on fait des cosmétiques.
Visite du stand d’Audrey au marché d’Olette et découverte de ses produits à base de chanvre corse
T. – Audrey !
A. – Bonjour.
T. – Salut Audrey.
A. – Bienvenue au marché d’Olette. Nous, on représente l’Immortelle et le chanvre. On fait différents produits, des huiles essentielles.
T. – On a là plein de choses. Toi, tu es déjà une pro des huiles essentielles. Donc, tu en as sorti au chanvre, ici.
A. – Avec chanvre en huile essentielle pure, roll-on qui est déjà dilué, prêt à l’emploi. Un hydrolat pour les peaux sensibles, coupe rose, rosacée. Une huile de massage Immortelle Chanvre Ylang-Ylang pour un massage bien-être, envoûtant et aphrodisiaque aussi avec Ylang Ylang.
T. – Ça, c’est des petites…Je ne sais pas comment ça s’appelle, des petits clippers.
A. – Oui, des petits clippers pour la voiture qu’on va ouvrir, imbibés d’huile essentielle. S’il veut bien… S’il veut bien s’ouvrir. Voilà, et on va clipser à la ventilation.
T. – Ça, c’est génial.
A. – D’autres huiles essentielles et une macération sublinguale de chanvre.
T. – Nouveau macérat.
A. – Des bonbons au CBD.
T. – Des bonbons au CBD.
A. – Des graines de chanvre sucrées-salées.
T. – Sucrées-salées, d’accord.
A. – Enfin, ou sucrées ou salées. Et des tisanes, du chanvre décarboxylé et de la trim.
T. – Et de la trim. Génial !
Les premiers retours positifs des clients
T. – Qu’est-ce que tu as aujourd’hui comme type de retour client ?
A. – Alors, le mieux, je vais dire, ça va être sur la macération sublinguale. C’est vrai que les gens dorment mieux, ont moins de douleur et du coup, ils sont contents. Juste avant que tu arrives, j’avais une cliente qui m’a recommandé trois parce que je lui ai dit que là, il fallait que j’en refasse, mais que j’en avais plus que trois. Et du coup, elle m’a dit: « Je te prends les trois ». Elle m’a dit: « Ça marche très bien ». C’était pour son papa, mais elle me dit: « Il revit, il dort et il était très content ».
T. – Donc, tu as déjà des gens qui reviennent.
A. – Oui, c’est vrai, et les tisanes aussi. C’est vrai que les tisanes aussi, j’ai des clients, oui, réguliers.
Des perspectives de développement alliant chanvre et agritourisme corse
T. – Excellent. Où est-ce que tu vois cette aventure, liée au chanvre évidemment, dans un an ? Est-ce que tu vois un frein, un quelconque empêchement à ce que ça parte plus haut, plus fort ?
A. – Non, j’imagine que ça peut partir que plus haut et plus fort avec de nouveaux produits et plein d’autres choses, oui, encore. Et sûrement des choses auxquelles je ne pense même pas encore, parce qu’il y a plein de projets que j’ai vus qui me tenteraient aussi encore.
T. – Comme par exemple ?
A. – J’ai vu un live d’experts sur les…
T. – Les dômes en chanvre ?
A. – Les dômes en chanvre. Je ne t’ai pas encore amené sur l’autre parcelle, mais en fait, ça s’y prêterait tout à fait.
T. – Il y a un petit projet de logement insolite.
A. – Oui, parce qu’on avait un projet d’agri-tourisme, parce qu’on avait un projet d’agritourisme, parce qu’on a des… Nous, on appelle ça des paillades, où c’est des petites maisons en pierre qui avaient les bergers pour stocker le foin. Et en fait, on s’était dit à la base, « pourquoi pas faire de l’agri-tourisme avec ça ? » Et en fait, là, j’ai J’ai vu le projet des Kerterre, je me suis dit: « Ah oui. C’est ça qu’il nous faut ». C’est ça qu’il nous faut.
T. – Du dôme en chanvre.
A. – Des dômes en chanvre, pardon. L’autre s’est déposé.
La création d ‘une marque: T Divina
T. – T Divina, c’est le nom ?
A. – Oui, de la société.
T. – Anciennement, Terra Divina.
A. – La Terre divine, mais Dior a décidé qu’on n’avait pas le droit de s’appeler comme ça.
T. – Ah, ils ont déposé…
A. – Ils avaient déposé le mot Terra parce qu’en fait, ils ont un parfum qui s’appelle Terra B. Et du coup, c’était trop ressemblant pour eux et ça prêtait à confusion dans l’esprit du consommateur.
T. – Et donc, leurs avocats t’ont demandé de..
A. – Oui, de changer de nom. Donc maintenant, on s’appelle T Divine parce qu’en fait, ça faisait déjà trois ans qu’on l’exerçait.
La décision de suivre le programme Chanvre Légal Pro pour accélérer son développement
T. – Pourquoi est-ce que tu as ressenti le besoin de rejoindre Chanvre Légal Pro ? Parce que tu avais déjà ton huile essentielle.
A. – En fait, j’avais plein d’idées en tête, mais je savais pas comment y arriver vu que je connais les plantes, je fais déjà des cosmétiques, mais j’avais envie de faire plus de choses et d’apprendre, savoir vraiment de ne pas perdre du temps pour avoir les bonnes infos dès le départ. Parce que c’est vrai que le temps, c’est de l’argent. Les analyses, ça coûte cher et les essais coûtent cher. Donc finalement, ça m’en a fait bien gagner. J’ai gagné 10 ans d’essai.
T. – Qu’est-ce qui t’as décidé à faire le pas avec Chanvre Légal Pro ?
A. – C’est qu’à ce moment-là, je pouvais le faire. Je n’avais pas grande avance devant nous en trésorerie, mais juste là, je me suis dit, c’était le fait de pouvoir le payer en plusieurs fois.
T. – C’était le bon timing.
A. – C’était le bon timing et je me suis dit: « C’est maintenant ».
Une formation qu’elle a déjà recommandée
T. – Et tu en as déjà parlé, donc tu n’es carrément pas déçue, j’ai l’impression.
A. – Non, non.
T. – Je te pose quand même la question: est-ce que tu recommanderais ce programme à d’autres personnes ?
A. – Bien sûr. Oui. Je l’ai déjà recommandé à des personnes et vraiment, j’espère qu’elles vont faire partie, elles aussi, qu’elles seront avec nous bientôt.
T. – Est-ce que tu auras un dernier mot à dire à ceux qui nous écoutent ?
A. – Oui, de se lancer dans le programme, que vraiment, je me suis sentie soutenue, que j’ai appris plein de choses, qu’en fait, je me sens moins seule et que quand j’ai un problème, je peux en parler avec des pros.
T. – Tu peux le résoudre rapidement.
A. – Oui, j’ai le problème, j’en parle et c’est résolu.
T. – Super ! Écoute, merci Audrey. Longue vie à T Divina – tdivinacorse. Ce n’est qu’un joli début et on a hâte de voir la suite.
A. – Merci.
Pour aller plus loin
Si vous avez apprécié cet article / vidéo ou si l’aventure d’Audrey, productrice de chanvre corse et créatrice de la marque T Divina, vous inspire, et que vous aimeriez en savoir plus sur notre programme Chanvre Légal Pro, alors rejoignez-nous sans tarder.
Et / ou laissez-nous vos commentaires plus bas 🙂
0 commentaires